So i say; de nada
j'aime le pouvoir des mots, la force du mot espoir et le '' mood '' de ma mélancolie.
j'aime le fait de pouvoir m'imaginer sans toi, sans avoir à versé quelque larmes.
j'aime l'effet quand je me dis que demain est un nouveau jours sans amour.
Mais ce que j'aime encore le plus, c'est le pouvoir des mots obscurs.
Du haut de ma tempête le ciel ce met a pleuré.
tu as fait coulé mes larmes en secret et dévaster mes rêves au complet.
Mais c'est pas de ta faute, je met le compte sur le fait de l'innocence.
Je voudrais pensé au présent mais les images me ramène au néant
et le temps fini par se mélanger avec les heures.
C'était inévitable quand même, mais que la mort me ronge les os, sa passe encore.
J'avais le courage comme vertu et mon amour comme emblème.
Partir loin, où le sexe n'as plus faim, et que tout ce qui compte au fond, c'est les liens.
Va voir ou savoir si c'est ici un rêve ou un compte,
mais je vais sur mon bateau et je prend le large, sur un courant qui ravale chacune de mes armes.
J'aurais eu envie de te dire que dans le fond, c'était pas ma tête qui parlais mais mon cœur.
J'essaie bien encore de te crié de ne pas partir, mais je n'ai pas eu la chance de posé sur toi,
une simple et dernière fois,
se regard mortelle, qui fige toutes ses pauvres bêtes.
Pourquoi la vie, la mort c'est des questions trop grande pour nous?
Parce qu'au fond de moi, je sais toujours qui restera une grande place.
il y en a beaucoup qui comparerait cela comme un drame, mais bien heureusement ce n'est pas encore mon cas.
J'aimerais continuer de courir à reculons, mais la société pousse trop fort ses obligations.
Pourquoi moi, lui, nous ou elle? Parce que au fond, il y a jamais vraiment de personne de visé,
c'est toujours le hasard qui répond au résultat final.
Quand il ne me restera que quelques rêves perdu, j'irais au loin faire mon deuil à celle que j'étaie autre fois.
À celle que j'aurais voulu devenir, puis à celle que les autres aurais aimé voir grandir.
il serait dure de nié que tu m'incite à rêver. Même si je sais que tu nie une belle histoire, comment t'en vouloir?
L'amour entre jeune démontre seulement la belle innocence qui repose sur nos cœurs.
Il y a toujours ses mots qu'on oublie, mais les tient son si dure, qu'il me serait impossible,
même avec une tempête de courage,
d'oublier qu'une seule syllabe.
J'espère qu'un jours tu tournera les talons et que tu regardera le chemin de ton passé.
J'espère qu'un jours tu regrettera les pas qui on foulé le sable de leurs amours.
Ces pauvres filles qui n'avaient pas mériter une seule attention.
Avec l'énergie qui me reste je pousse un dernier soupire,
avant que la mélancolie ne parte, j'aimerais laisser un dernier message.
C'est un nouveau départ j'aimerais dire une dernière chose.
Mais au fond, plus aucun mot ne pourrais décrire.
j'aime le pouvoir des mots, la force du mot espoir et le '' mood '' de ma mélancolie.
j'aime le fait de pouvoir m'imaginer sans toi, sans avoir à versé quelque larmes.
j'aime l'effet quand je me dis que demain est un nouveau jours sans amour.
Mais ce que j'aime encore le plus, c'est le pouvoir des mots obscurs.
Du haut de ma tempête le ciel ce met a pleuré.
tu as fait coulé mes larmes en secret et dévaster mes rêves au complet.
Mais c'est pas de ta faute, je met le compte sur le fait de l'innocence.
Je voudrais pensé au présent mais les images me ramène au néant
et le temps fini par se mélanger avec les heures.
C'était inévitable quand même, mais que la mort me ronge les os, sa passe encore.
J'avais le courage comme vertu et mon amour comme emblème.
Partir loin, où le sexe n'as plus faim, et que tout ce qui compte au fond, c'est les liens.
Va voir ou savoir si c'est ici un rêve ou un compte,
mais je vais sur mon bateau et je prend le large, sur un courant qui ravale chacune de mes armes.
J'aurais eu envie de te dire que dans le fond, c'était pas ma tête qui parlais mais mon cœur.
J'essaie bien encore de te crié de ne pas partir, mais je n'ai pas eu la chance de posé sur toi,
une simple et dernière fois,
se regard mortelle, qui fige toutes ses pauvres bêtes.
Pourquoi la vie, la mort c'est des questions trop grande pour nous?
Parce qu'au fond de moi, je sais toujours qui restera une grande place.
il y en a beaucoup qui comparerait cela comme un drame, mais bien heureusement ce n'est pas encore mon cas.
J'aimerais continuer de courir à reculons, mais la société pousse trop fort ses obligations.
Pourquoi moi, lui, nous ou elle? Parce que au fond, il y a jamais vraiment de personne de visé,
c'est toujours le hasard qui répond au résultat final.
Quand il ne me restera que quelques rêves perdu, j'irais au loin faire mon deuil à celle que j'étaie autre fois.
À celle que j'aurais voulu devenir, puis à celle que les autres aurais aimé voir grandir.
il serait dure de nié que tu m'incite à rêver. Même si je sais que tu nie une belle histoire, comment t'en vouloir?
L'amour entre jeune démontre seulement la belle innocence qui repose sur nos cœurs.
Il y a toujours ses mots qu'on oublie, mais les tient son si dure, qu'il me serait impossible,
même avec une tempête de courage,
d'oublier qu'une seule syllabe.
J'espère qu'un jours tu tournera les talons et que tu regardera le chemin de ton passé.
J'espère qu'un jours tu regrettera les pas qui on foulé le sable de leurs amours.
Ces pauvres filles qui n'avaient pas mériter une seule attention.
Avec l'énergie qui me reste je pousse un dernier soupire,
avant que la mélancolie ne parte, j'aimerais laisser un dernier message.
C'est un nouveau départ j'aimerais dire une dernière chose.
Mais au fond, plus aucun mot ne pourrais décrire.